Florence Seyvos dresse le portrait fascinant d’un beau-père tyrannique annoncé par Le Point – Toute l’info en continu le
En explorant le web j’ai repéré un encart qui va vous intéresser. Son sujet est « Actualité française ».
Diffusé sur Le Point – Toute l’info en continu, l’article ci-dessous
Signature .
Date et heure de la réception de la dépéche sur notre fil d’info:
Date et heure de publication sur internet:
Titre exacte donné par le journal était: Florence Seyvos dresse le portrait fascinant d’un beau-père tyrannique
Information et contenu publiés :
Le Havre, années 1980. Après avoir vu leur mère partir avec un autre homme en Côte d’Ivoire, Anna et sa sœur, Irène, finissent par quitter leur père pour rejoindre Abidjan. Surprise ! Jacques, le beau-père, les accueille en princesses et les traite en adultes. Poli et méthodique, il les encourage à se surpasser et prend le temps de discuter de tout avec elles. Et elles reçoivent tant d’affection qu’il réussit aussitôt à s’en faire aimer.
En même temps, Jacques ne supporte ni les jeans troués, ni les coiffures relâchées, ni les fautes de français. Il faut obéir à tous les rites régentant son quotidien obsessionnel, faire en permanence des stocks de provisions. Chassant les mygales au pistolet, l’adorable maniaque en vient à tenir d’une main de fer cette famille en exil qu’il isole un peu plus, en refusant tout contact avec le voisinage.
Entrepreneur en matériaux de construction, Jacques échafaude en permanence des plans pour se diversifier et, sûr du succès, ne cesse d’emprunter pour agrandir sa maison et en embellir le jardin. Jusqu’à ce qu’un accident de chantier réduise le gentleman vieille France au rang de victime d’interdit bancaire et le control freak (maniaque du contrôle) à celui de clochard à domicile.
Maniaco-dépressif ou juste borderline ?
Après la prison pour dettes, le diabète achève d’assommer Jacques, qui laisse sa famille recomposée rentrer au Havre. Acculé à fermer ses bureaux, dessaisi de sa maison, le beau-père en est réduit à rejoindre la mère et ses deux filles en France, où sa maniaquerie redouble : le voilà qui commande un superbe bureau Louis XVI à un antiquaire du coin, suivi d’un piano laqué. Tout devient angoissant, avec lui, jusqu’à la dinde de Noël, que la mère malaxe sans fin pour attendrir cette masse « laide, hostile ».
À Découvrir
Le Kangourou du jour
Répondre
Florence Seyvos a le sens du détail qui tue. Tout prend chair sous sa plume, et l’amour et la haine que suscite cet homme hors norme, et l’inquiétude et la honte qui rongent son entourage. Est-il maniaco-dépressif ou juste borderline, ce beau-père aussi attachant que destructeur ? Les grands caractères emportent avec eux leurs secrets §
« Un perdant magnifique », de Florence Seyvos (L’Olivier, 142 p., 19,50 €).
#Florence #Seyvos #dresse #leportrait #fascinant #dun #beaupère #tyrannique
Reprise de l’information dans un style journalistique professionnel descriptif en organisant les idées dans un ordre cohérent avec titres html
A lire sur le même objet:
J’apprends la France entre 1914 et 1945 pour les Nuls.,Référence de ce livre.
Les bienfaits de la France.,Redirection vers l’ouvrage. Disponible sur internet.
Une certaine idée de la France.,Fiche de l’ouvrage.